samedi 27 février

Au programme, journée playa...

Ce matin nous sommes réveillés par des singes hurleurs : IMPRESSIONNANT!
Manu, Oscar et Ruben partent à l'aventure à 6h pour essayer de les voir. Ils sont récompensés...





Vidéo à l'appui, c'est à écouter!


Après un bon petit déjeuner au bord de la piscine nous allons faire quelques emplettes -  Catherine veut absolument un paréo que l'on finit par trouver dans une petite boutique tenue par un Tico (un Costa Ricain) artiste à qui l'on achète également une très belle sculpture sur bois pour seulement 30$.

Le petit déjeuner copieux avec le plat traditionnel : le gallo pinto.
 

Ici les écoles ressemblent à cela, toujours bleues - comme les uniformes des enfants - un étage, des grilles et rarement des fenêtres.




Pour Luis de la part de Ruben - un paradis de surfeurs :


 La plage enfin, avec ses chevaux sauvages.





Pause repas à l'ombre! Il fait très très chaud et le soleil tape fort ici - nous sommes à hauteur de l'équateur quand même.

Pour Carmen, avec une pensée pour le grand père Emilio :

 

L’après midi nous essayons une autre plage magnifique également, avec ses palmiers et son sable clair et brulant. 

Les enfants n'ont pas apprécié le panneau signalant la présence possible de crocodiles!
Oscar a refusé longtemps de se baigner, mais la chaleur a eu raison de son entêtement. C'est finalement un jeune chien qui aura crevé leur ballon de foot et non un crocodile.
 



Nous retournons au lodge de bonne heure, la peau bien rougie par le soleil.

A propos de Samara :
Nous avons adoré cette station balnéaire très authentique sans route goudronnée, sans immeubles ni complexes hôteliers. Les ticos s'y promènent à cheval et côtoient des surfeurs.

Demain matin nous prenons la route pour une nouvelle destination.

PURA VIDA  

1 commentaire:

  1. Coucou familia santa. A défaut de revenir bilingue espagnol, il va falloir vous contenter de merveilleuses images qui font pâlir même la plus jolie des brunes (je préfère rester incognito😆). Heureuzzz pour vous visages pâles... heu rougis plutôt. Avec beaucoup damour et de jalousie improductive, Paris vous embrasse

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